Les compétences des jeunes: c’est un investissement dans notre avenir, pas un coût !
Aujourd’hui, le 15 juillet 2023, c’est la journée mondiale des compétences des jeunes. Une bonne occasion pour rappeler que la Confédération doit soutenir les PME qui forment des apprentis par des remises d’impôts et dois investir dans les hautes-écoles (HES, UNI et EPF) !
Aujourd’hui, les jeunes sont notre plus grande ressource, et leur développement personnel et professionnel est essentiel pour façonner le monde de demain.
La formation des jeunes dépasse de loin la simple acquisition de connaissances. Elle leur offre les outils nécessaires pour développer leur plein potentiel et devenir des citoyens responsables et actifs dans notre société. Une éducation solide est la clé de l’émancipation, de l’autonomie et de la réussite.
Lorsque nous investissons dans la formation des jeunes, nous investissons dans notre propre avenir. Nous nous donnons la capacité de s’adapter aux changements rapides de notre monde et de trouver des solutions innovantes aux problèmes de plus en plus complexes.
La formation des jeunes brise les barrières sociales et économiques en offrant aux jeunes les plus vulnérables la chance de se développer et de réussir. En leur donnant accès à une éducation de qualité, nous réduisons les inégalités et favorisons lle vivre ensemble.
La formation englobe l’apprentissage, les stages, la formation académique et les expériences professionnelles. En encourageant les jeunes à explorer différents domaines et à acquérir des compétences polyvalentes, nous ouvrons des portes vers des carrières prometteuses et stimulantes.
J’en suis un exemple, ayant débuté par un apprentissage et terminé par un master universitaire.
En formant les jeunes, ils auront conscience des enjeux mondiaux et seront motivés à apporter des changements positifs dans notre pays. Ils deviennent des moteurs de progrès, des défenseurs de notre modèle démocratique et des protecteurs de l’environnement.
Alors, investissons dans la formation des jeunes. Les politiques fédérales doivent être cohérentes avec les besoins de notre pays. Investir dans les universités, les hautes – écoles, les écoles professionnelles. Soutenir les PME dans leur rôle de structure formatrice. Et favoriser toutes les passerelles possibles d’un type de formation à un autre.
C’est ce que je soutiendrai au parlement si je suis élu le 22 octobre prochain.
Des jeunes formés et compétents seront les garants de notre qualité de vie, de notre démocratie et de la protection de notre environnement !